Dans un Paris alternatif, en 1927.
Après avoir découvert l’existence des loups-garous et leurs liens obscurs avec la monarchie en place, la pétillante Rebecca Delauney intègre la prestigieuse Garde du Roi, chargée de gérer les affaires étranges du royaume. Encouragée par sa compagne, elle se réjouit des perspectives qui s’ouvrent à elle, mais sa première grande enquête ne s’avèrera pas de tout repos !
Car les profondeurs de l’église Saint-François dissimulent un dangereux prisonnier. Ce loup-garou, surnommé le Maudit par les siens, est soumis depuis des siècles au contrôle d’un mystérieux pendentif dont hérite malgré lui le jeune prêtre de la paroisse. Le père Andrew n’aura pas trop de l’aide de Rebecca pour comprendre qui est le Maudit et de quelle manière il doit se comporter envers lui. Et pendant ce temps, d’autres forces œuvrent dans les ténèbres pour s’emparer du pouvoir que le renégat représente.
Qui est ce loup-garou si singulier ? A-t-il été puni pour ses crimes ou est-il la victime d’une terrible malédiction ? Rebecca et Andrew devront faire des choix avant qu’un monstre bien plus terrible ne soit libéré à son tour…
Une uchronie haletante où les loups-garous occupent le premier plan et où se mêlent aventures, amitié et rédemption !
Pour le moment, les ventes démarrent doucement, le livre peine un peu à trouver son public, mais je suis en train de faire le nécessaire pour y remédier.
Il faisait toujours le même rêve. Depuis toutes ces années, tous les jours, plusieurs fois par jour même, c’était ce rêve qui revenait le harceler, à la fois son unique plaisir et son plus pénible tourment. De temps en temps il songeait que cette illusion était peut-être la seule chose qui lui avait évité de devenir complètement fou, mais il n’était pas non plus tout à fait certain d’être encore sain d’esprit. Il sentait parfois sa cervelle bouillir et les ténèbres humides torturaient ses sens jusqu’à en extraire des visions extravagantes. Même son odorat se jouait de lui et des effluves impossibles chatouillaient souvent son nez si inutile dans ce lieu coupé de tout, apportant des sons tout aussi absurdes. Son unique repère était le changement qui advenait en lui deux fois par mois et son instinct lui-même s’émoussait, l’empêchant de déterminer réellement le temps qui passait. Il était seul au milieu du néant, seul avec ce rêve incessant.
Language | Status |
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English
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Already translated.
Translated by Ian Stephenson
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Italian
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Translation in progress.
Translated by Veronica Todaro
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Spanish
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Translation in progress.
Translated by Christian Orlando VALDEZ HERNÁNDEZ
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