Le sens de la logique est univoque ; il est dans le poème de Parménide d’Elée sur « La voie de la vérité » et « La voie de l’erreur », dans le fragment « l’Être est, le non Être n’est pas »: « Il n’y a pas à redouter que jamais, l’on te prouve que ce qui n’est pas est. Et toi, éloigne ton esprit de cette voie de recherche ». Si les premiers philosophes insistent sur la logique, ils savent aussi qu’une inconsistance d’ordre logique, donc dans la pensée, ne tarde pas à exposer d’autres difficultés dans l’ordre de l’agir. Puisqu’il en est ainsi, cette partie est alors une Propédeutique à toute science et à tout agir.
« Cohérence, vérité et validité ». L’homme est fragile en son corps, mais aussi son esprit qui conditionne sa liberté. L’une des formes de manipulation de l’esprit est la confusion qui peut être volontaire ou involontaire de la cohérence et de la vérité. C’est dans les cas où l’individu, seul ou en communauté, pose les conditions ou préalables ou normes, comme lois guidant l’entendement et l’agir. Pour lui, la rationalité sera alors la cohérence formelle et la chaîne de toute la démonstration, telle qu’elle est concluante, seulement à partir des conditions qu’il a posées. C’est le pragmatisme. Une position pragmatique, aussi dogmatique, n’est ni vraie, ni fausse; elle est seulement vraie ou fausse en ses conséquences (lois d’inférence qui relient logiquement la chaîne des propositions) et dans leurs conclusions théoriques ou pratiques qui peuvent s’avérer satisfaisantes ou non. Un individu qui agit ainsi, conformément à la norme qu’il a lui-même établie ou qu’on a établie pour lui, croit agir dans la vérité, alors qu’il est plutôt dans la cohérence; une large, forte, de moins en moins sage ou naïve corporation appelle ses sujets à la rationalité, seulement selon les normes qu’elle a, elle-même, établies. La vérité est plutôt dans la valeur de la chose que seul l’esprit métaphysique (essence, sens ou signification) peut décider. Cette partie, loin d’être seulement au service de la recherche scientifique, elle est au service de la vie, de la liberté, de l’agir.
La rencontre: logique, méthodologie et épistémologie est nécessaire, parce que le penseur logicien doit constamment distinguer la cohérence ou validité avec la vérité. Une conclu-sion peut être cohérente (agencement des propositions)
Genre: PHILOSOPHY / General
Le sens de la logique est univoque ; il est dans le poème de Parménide d’Elée sur « La voie de la vérité » et « La voie de l’erreur », dans le fragment « l’Être est, le non Être n’est pas »: « Il n’y a pas à redouter que jamais, l’on te prouve que ce qui n’est pas est. Et toi, éloigne ton esprit de cette voie de recherche ». Si les premiers philosophes insistent sur la logique, ils savent aussi qu’une inconsistance d’ordre logique, donc dans la pensée, ne tarde pas à exposer d’autres difficultés dans l’ordre de l’agir. Puisqu’il en est ainsi, cette partie est alors une Propédeutique à toute science et à tout agir.
« Cohérence, vérité et validité ». L’homme est fragile en son corps, mais aussi son esprit qui conditionne sa liberté. L’une des formes de manipulation de l’esprit est la confusion qui peut être volontaire ou involontaire de la cohérence et de la vérité. C’est dans les cas où l’individu, seul ou en communauté, pose les conditions ou préalables ou normes, comme lois guidant l’entendement et l’agir. Pour lui, la rationalité sera alors la cohérence formelle et la chaîne de toute la démonstration, telle qu’elle est concluante, seulement à partir des conditions qu’il a posées. C’est le pragmatisme.