Sandrine Mehrez-Kukurudz, née en 1967, a commencé sa carrière professionnelle par le journalisme radio avant d’entrer dans l’agence de communication CLM-BBDO France.
Elle a été ensuite recrutée comme directrice de création et rédactrice dans l’agence de communication RJK, par celui qui allait devenir son mari.
Depuis 24 ans, ils forment un duo complémentaire qui leur a permis de signer des événements d’exception tels que l’une des plus importantes audiences de l’année de TF1 lors de la dernière éclipse du soleil du Millénaire ou la plus importante commémoration au monde, en dehors de New York, du 11 septembre 2001 à Paris, en 2011.
À New York, elle a produit Best of France à Times Square avec plus de 500 000 visiteurs en deux jours, les 70 ans de D-Day en larguant 1 million de pétales de roses au-dessus de la statue de la Liberté et travaille sur la promotion de la mode, de l’art ou du champagne aux États-Unis.
« L’atelier au fond de la cour » est son second roman, après « La valise noire à nœuds roses » publié en février 2018, qui s'est vendu à plus de 2,000 exemplaires et a reçu près de 100 avis Amazon dans les différents pays du monde où le livre est distribué.
Maman de Salomé (21 ans) et Noa (17 ans), elle leur raconte souvent de fabuleuses histoires de famille.
Née de parents français, elle puise ses racines de l’Europe à l’Orient, véritable cocktail d’influences les plus diverses, des rives de la méditerranée égyptienne à celles d’Espagne, des villes froides de Pologne aux villages de Roumanie.
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Quand une valise noire à nœuds roses bouleverse les destins et signe le départ d'une incroyable aventure humaine.
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